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📖 The Celestial Quest of the Valiant Knight:
‘As I, a humble knight, ascended the treacherous mountain, my heart brimmed with hope and determination. My kingdom had been plagued by endless wars, famine, and despair, and I believed the key to salvation lay atop this colossal peak. In my dreams, I had been visited by a celestial entity that beckoned me towards the summit. It whispered promises of guidance and assistance in these trying times, and I felt compelled to act on this divine message.
I had spent countless days and nights traversing the rugged terrain, battling the elements and my own exhaustion, but I knew I could not fail my people. As I approached the peak, the clouds parted, revealing an ancient, intricately crafted gate. This was the moment I had been waiting for, the culmination of my arduous journey. My heart raced as I hesitantly stepped forward, and the gate creaked open. A shimmering figure materialized before me, its ethereal light illuminating the darkness. The divine being had answered my call.
"My child," the celestial entity spoke, its voice resonating within the depths of my soul, "You have shown great determination and courage in seeking my guidance. Your devotion to your kingdom is truly commendable." My eyes welled up with tears, and I fell to my knees, grateful for the being's words of encouragement. "Rise, brave knight," it continued, "I shall grant you the wisdom you seek, for it is your destiny to lead your people out of darkness and into a new era of prosperity."
As I approached the divine being in front of me, I thought about what drove me to undertake this perilous journey. At the core of my heart, I had always known that the well-being of my people was of paramount importance to me. Their pain, their suffering, their despair had driven me to seek help from a higher power, and I realized that it was this deep-rooted love for my kingdom that had given me the strength to persevere through adversity. '
In the eyes of what once upon a time was his best friend, he could not help but shiver - though not from the cold.
He refuses to let this be his final resting place, he will not have Rae bury his best friend.
Picture by T. R. Sullivant ( Т. Р. Салливант )
An ass felt it his duty to destroy superstition, so he went up to the brass idol in the market-place and gave it a vigorous kick. A dog came to him as he lay groaning on the ground, nursing his broken leg, and said, “Well, did you prove anything?” “Nothing,” said the other. “Except that I am an ass.”
Осёл, который долгом своим почитал борьбу с предрассудками, подошел однажды к бронзовому истукану на рыночной площади, развернулся и с неистовой силой лягнул его. К нему, стонущему лёжа на земле со сломанной ногой, подбежал Собачонок и спросил: «Ну как?! И что ты этим доказал?» «Ничего… Кроме того лишь, что я осёл!..»
© Перевод
(Critique simplette du roman "La ferme des animaux" de George Orwell) Nous sommes à des lieux de l’opus « 1984 » de George Orwell, voire à des années-lumière. Malgré un thème qui aborde les mêmes problématiques relationnelles entre mammifères de différents niveaux sociaux, « La ferme des animaux » est une fable simple (pour ne pas dire simplette) qui montre une évidence : la recherche de pouvoir et la complaisance dans l’ignorance. Ces dernières sont toujours au cœur de notre lente déchéance en tant qu’humanité. Un sentiment de supériorité vis-à-vis du règne animal persiste toutefois après la lecture de ce bouquin. C’est peut-être signe que je suis resté sur mon appétit (de carnivore) ou que je n’ai pas bien compris le message d’Orwell, inspiré probablement d’une philosophie maintenant révolue qu’est le Stalinisme. Développé autour d’animaux traditionnels de la ferme, l’auteur du court roman fait un parallèle entre ce qui ressemble à l’esclavagisme tel que nous le connaissons et le caractère intrinsèque de bêtes domestiquées par l’homme. Les bêtes se révoltent, prennent en charge leur destinée via une forme de communisme, tombent sous une dictature et reviennent sensiblement dans la même position d’avant leur révolte; un cycle bien connu et documenté de l’histoire contemporaine de l’homme. L’on prend plaisir à se demander quel animal nous ressemble le plus, comme lors de l’écoute de l’album « Animal » de Pink Floyd, librement inspiré de cette œuvre. Et c’est probablement là le seul plaisir tangible de cette histoire. Suis-je un mouton « suiveux », un chien binaire, un fort cheval avec des ornières, un cochon stratège ou un chat indépendant? Mais cette fable quelque peu réductrice laisse l’impression d’un cours 101 de géopolitique à deux sous, laissant de côté toutes subtilités possibles entre ceux qui ont le pouvoir et ceux qui le subissent. Même l’interaction finale entre les humains et les animaux donne dans la facilité. Peu de zone grise. Peu de finesse, mais tout de même un bon divertissement. Intentionnellement ou non, Orwell installe dès les premières pages un sentiment d’incrédulité et de méfiance face au projet animalier qui veille. De fait, il m’a été difficile d’être totalement sympathique à la cause des bêtes. La culpabilité qu’on tente de me faire sentir quant aux méthodes d’élevage du fermier-propriétaire colle difficilement, comparativement à notre époque de production de masse. L’on se réjouit tout de même du soulèvement des bêtes. Mon côté gauchiste/humaniste est ici mis à contribution de façon naturelle. Et la première chose qui me vient à l’idée en lisant sur la révolte des animaux est la série de la Planète des singes. L’on pourrait croire que Pierre Boulle s’en est largement inspiré pour son propre roman qui a lancé la franchise. Au final, je me suis surpris à rêver d’une mise à jour pour ce roman. Et si les poulets avaient été cordés dans des cages trop petites? Et si les vaches étaient « ploguées » pour leur sucer le plus de lait possible? Et si l’on établissait l’histoire dans une usine à chiot ou dans une industrie d’équarrissage de notre siècle? Orwell n’aurait pu deviner l’horreur de l’industrie alimentaire ou animalière d’aujourd’hui lors de l’écriture de son roman en 1955. Ceci est pardonnable et compréhensible, mais l’entrée en matière du roman donne un ton vieillot au récit. C’est tout le contraire de l’univers de Big Brother dans le roman d’anticipation « 1984 » dont la prescience est encore bien d’actualité en 2014. « La ferme des animaux » reste un bon outil de base pour soutenir un argumentaire géopolitique encore applicable de nos jours. Mais il faut lire ce roman avec une bière blonde bien froide et légère en main, sur une terrasse qui sert de bonnes côtelettes de porc. Note : Merci à Julien Leclerc (https://www.facebook.com/julien.leclerc.167?ref=ts&fref=ts) pour m’avoir prêté ce livre
"Deux pigeons s'aimaient d'amour tendre..."
(Fable " Les deux pigeons" de Jean De La Fontaine, a inspiré Charles Aznavour pour sa chanson, très belle chanson "Les deux pigeons".)
Dany ERDOCIO